VOL AU DESSUS D’UN NID DE CITRONS…

Je ne sais comment, peut-être était-ce le vent. Le vent du Nord j’entends !

Mais j’ai pris les airs, et j’ai plané un instant

J’ai volé au dessus d’un parc étrange et coloré.

Et de là-haut, bizarrement, les fleurs brillaient !

 

Mon corps approchant, des détails apparaissaient, transformant finalement

Ce parterre aux mille pétales en bouquet de métal.

Et mes fleurs, si brillantes au firmament,

Déployaient leurs ailes et des yeux globuleux !

 

Des autos, en fait, ornaient ce parc étrange aux mille couleurs,

Et, sur sa canopée, le bout des doigts en éveil,

J’effleurais la cime de ces merveilles,

Par mes pores, absorbant leurs saveurs.

 

Dans cet exil aérien, j’ai croisé des présidentielles, puis des ondulées

A l’œil unique, comme c’est rigolo !

Et puis un long cigare bleu

A évoqué l’océan à mon esprit divagant.

 

Puis, à l’approche de la Tour, celle de Gustave, j’entends,

J’ai investi l’univers du Bureau d’André

Parfumé d’un mélange subtil et rétro

De naphtaline et de cire à bois de chêne.

 

Un bourdonnement et venu me chatouiller l’oreille,

Une feuille volante a caressé mon flanc,

Un frelon vert aux chevrons argent

Et aux longues pâles assourdissantes.

 

Heureusement, Colette a chassé cette hurlante rencontre

Et j’ai trouvé refuge auprès d’une chenille globetrotteuse,

Qui m’a montré le désert et son rallye cherchant Dakar,

Un exigeant périple en plein cœur de l’Afrique.

 

Mais mon esprit divagant s’est perdu dans les méandres

D’un rêve filandreux qui cherchait son essence.

Et c’est un cygne majestueux, tout d’argent vêtu

Qui me ramena doucement à la réalité :

 

Ce voyage étrange, cette virtuelle visite

M’était offerte par un ami, Bernard,

Au travers de ses quelques photos :

Que la vie est belle, quand on côtoie l’Auto Rétro !

 

Jean-Christophe G

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

PETIT RETOUR EN ARRIERE… …EN 2015 !

     Nos deux compères Jean-Louis H et Jean D ont loué, il y a maintenant 3 ans, leurs vieux carrosses à deux bandes d’escrocs du dimanche qui frelataient l’une du pastis et l’autre du cola…  …Remarquez : c’est un article qui va émouvoir tout particulièrement notre amateur de « mazout », alias Picsou 4ème du nom ! (Le « mazout » étant une boisson saumâtre composée de coca et de pastis…).

     Mais qu’Est-ce qui leur a pris de faire confiance à ces gangsters d’opérette ?…  …L’appât du gain, bien sûr ! Et puis, l’argent n’a pas d’odeur ; on peut bien le prendre là où il est : qui d’entre nous osera t-il dire qu’il n’en n’aurait pas fait autant à leur place ?

     Enfin, apparemment, ça s’est bien terminé : les voitures ont été rendues en parfait état et, de toutes façons, il paraît qu’en fait de gangsters, il s’agissait finalement d’acteurs avec une équipe de tournage autour…  …Ouf, j’aime mieux ça !

     Bon, maintenant, j’ai vu le film (Jean-Louis m’a passé le DVD). Les voitures jouent vachement bien : elles crèvent l’écran, comme on dit ! Concernant les acteurs, ils étaient crédibles dans l’ensemble (en tout cas, le casting était bon !). C’est le montage qui pêche un peu, hélas, avec tantôt des séquences maladroites, tantôt des enchaînements trop rapides. Mais l’idée était très bonne et l’histoire plutôt amusante. Pour un film amateur, c’est quand même pas mal !

      Il était question de diffuser le film sur le site, mais sa durée m’empêche de réaliser cette opération. Donc, le film est disponible sur simple demande au secrétaire (Oh, mince, j’suis bête : c’est moi ! …En tout cas, jusqu’au 31 décembre 2017 !). En attendant, voici quelques photos du tournage, prises par notre ami Jean-Louis H.

Bonne balade.

Jean-Christophe G

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

PICSOU A FÊTÉ LES 50 ANS D’FR3 AMIENS…

Une journée passionnante en compagnie des journalistes de FR3 Picardie qui fêtaient les 50 ans de l’antenne d’Amiens.

A cette époque FR3 s’appelait ORTF et c’est sous cette appellation que mon break ID fut décoré pour l’occasion.
17 villes seront traversées en trois jours avec à chaque étape un « direct » a l’antenne d’FR3 ou un « Facebook Live » sur la page de FR3 Picardie.
Regarder la télévision par ce côté de la lorgnette est très instructif et amusant. Je me prends au jeu du petit boulot: tenir un projecteur qui éclaire les gens interviewés,
amener le câble de la caméra en quantité suffisante pour que le caméraman puisse avancer, ou le guider durant ses « marches arrières ». Bref je m’amuse comme un petit fou!!!
voici quelques photos de ce premier jour.
Jean-Luc D
Préparation de la DS

 

 

 

Même en bord de mer …

 

 

 

 

 

 

 

 

20.000 LIEUES SOUS HALLUIN : La petite sirène à la recherche de Némo…

      Il était une fois… Arielle, la petite sirène, qui revenait tout juste d’un long périple dans les Caraïbes. Elle se vit confier une bien étrange mission par son père Poséïdon. Un capitaine de renom venait de disparaître et nul ne savait où il pouvait être. On sait juste qu’il avait eu, un jour, maille à partir avec une pieuvre géante mais la légende dit qu’un de ses matelots avait finalement terrassé le céphalopode.

      Bien sûr, trop jeune et trop insouciante, elle n’avait encore jamais entendu parler de ce capitaine d’un autre temps, qui répondait au doux nom de Némo. Elle reprit donc la route avec sa toute nouvelle chevelure bleu azur (et oui : les temps changent!), direction les eaux du Nord, dernier endroit où avait été aperçu le Nautilus, le insubmersible de Némo qu’il ne quittait presque jamais.

       Elle nagea longtemps entre les côtes d’Islande, d’Irlande et d’Angleterre, contournant même l’île anglo-saxonne par l’Ecosse et flirtant avec le littoral norvégien. Beaucoup d’algues, quelques cétacés et deux ou trois bouteilles de coca, mais pas l’ombre du capitaine. Pourtant, c’est bien là qu’il devrait être, à moins que la mer l’ai définitivement avalé… Pourquoi pas ? C’est déjà arrivé à tant de marins et pas des moindres ! Cependant, elle n’abandonna pas, persuadée qu’elle allait le retrouver sain et sauf. Elle le sentait, puis elle ne voulait surtout pas décevoir son père.

      Après des semaines de recherches incessantes, elle prit la décision de descendre vers des lieux un peu plus cléments pour s’y reposer. Franchement, la région la plus propice à la détente, c’est la nôtre. Elle jeta donc son dévolu sur une petite bourgade du nord de la France, Halluin où une foule de citadins festoyait dans les rues.

      Ils admiraient un cortège d’aventuriers de toutes sortes, venus des quatre coins du globe, et défilant bruyamment. Amusée par ce spectacle si étranger à son univers aquatique, elle posa ses écailles sur un large rocher verdâtre bien placé au coeur du dispositif, elle n’allait rien rater de la fête, pensait-elle. Et comment ! Dès le départ du cortège, son rocher trembla et se mit à avancer ! Qu’était-ce donc que ce sortilège ? …En définitive, son rocher n’était autre qu’une Jeep Willys de la Seconde Guerre Mondiale. Et oui : comment aurait-elle pu le deviner ? Nous sommes loin de son milieu marin, là ; les voitures : elle connaît pas ! Elle s’accrocha donc comme elle put sur sa stèle mouvante, observant tout autour d’elle, effrayée par le bruit et les odeurs qui se dégageait de son caillou…

      Alors qu’elle scrutait les alentours, elle aperçut avec stupeur le nez menaçant d’un submersible juste derrière et se rapprochant dangereusement. Et si c’était le fameux Nautilus ? Dans ce cas, le capitaine Némo ne doit pas se trouver très loin ! Ouvrons l’oeil, pensa t-elle !

      Effectivement, dans une large barque juste devant elle, le capitaine Némo paradait le plus fièrement du monde, aux côtés de trois magnifiques sirènes aux longues jambes humaines… Auraient-elles aussi subi le sort d’Arielle qui, jadis, perdit ses écailles et sa queue contre une paire de jambes ? Heureusement, pour Arielle, cela ne dura qu’un temps !

      Furieuse de voir ce belâtre s’amuser ainsi alors que son père à elle était mort d’inquiétude de ne plus avoir de nouvelles, elle le poursuivit jusqu’à la nuit et fit tomber une pluie dense de petits cristaux de glace blancs et salés sur son véhicule. Une fois l’intrigant capturé, elle le ramena à son père. Celui-ci, peu rancunier et, ma foi, tiraillé par la faim qui commençait à se faire sentir, il organisa un banquet pour fêter le retour victorieux de sa fille chérie. Le capitaine ne fût pas trop châtié : il n’écopa que d’une mise à pieds temporaire et dut accepter d’épouser la petite sirène qui, depuis des lustres déjà ne rêvait que d’un mari humain…

      Bref, nous accompagnâmes Arielle dans son périple, nous les marins du navire ARH, disposant pour un instant seulement du pouvoir de contrôler ces cristaux de glace et les utiliser contre les halluinois et fûmes invités au banquet par Poseïdon, en remerciement d’avoir veillé sur son enfant. Et une fois de plus, un verre dans une main et une pizza dans l’autre, nous nous dîmes combien la vie est belle au sein de l’ARH…

Jean-Christophe G

 

Un nouveau chantier pour l’ARH.

 

L’ébauche du Nautilus…

 

…Il montre déjà ses dents !

 

Il prend des couleurs !…

 

…Pourra t-il prendre le large ?

 

 

Les rochers verdâtres !

 

Arielle…

 

…La petite sirène !

 

Deux sirènes gothiques…

 

…Oh mon bateau oh oh oh ! C’est lo plou bô des bateau !

 

Le Nautilus prêt à partir !

 

 

 

Oh, la belle bleue !

 

Il a succombé au chant des sirènes !…   …Ah, c’qu’ils sont faibles ces marins, tout de même !

 

 

Arielle a retrouvé le capitaine Némo !

 

Une autre sirène… …déguisée en marin !

 

 

 

On a pêché une sirène !

 

Bon, et maint’nant ? …J’en fais quoi ?

 

Cinq marins à l’abri de l’eau…

 

Après la pluie, l’arc en ciel.

 

 

 

On enlève les gouttes…

 

 

 

 

Arielle sur son rocher… …Verdâtre !

 

 

Le maire était de la partie…

 

 

 

 

Le capitaine Némo et ses sirènes…

 

Première averse…
Le maire a eu droit à sa part du gâteau !

 

 

 

Livraison à domicile !

 

Service canon !

 

 

…Le maître artificier !

 

La municipalité était présente…

 

…Nous aussi !!!

 

Si les dauphines s’en mêlent, alors !

 

 

Némo le bienheureux !

 

La pause bistro !

 

…C’est encore moi qui paie ?…     …Franch’ment, vous êtes pas drôles, les gars !

 

…Bon bin, j’peux boire aussi, alors !

 

 

 

Les dauphines aussi boivent ?

 

Et splash, c’est reparti !

 

 

 

 

La douche du soir…

 

…Le chaos !

 

…(Photo Bernard DEB)

 

Les paparazzi sont là !

 

 

 

…(photo Bernard DEB)

 

 

 

…Peine perdue, mon cher Bernard !

 

 

 

REGOMMAGE 2017 : 2 tramways nommés plaisir…

     A Wambrechies, petite bourgade nordiste ancrée le long de la Deûle, s’érigeait discrètement entre le fleuve et quelques arbres centenaires, une bâtisse enfermant de drôles de machines électriques venues d’un autre temps. Elles étaient jalousement gardées par un groupe de passionnés qui n’avaient qu’une idée en tête : faire revivre ces monstres ferroviaires.

      Ma foi, comme nous entretenions de bonnes relations avec deux d’entre eux, ces derniers nous invitèrent à découvrir leurs engins et, par là même, leur passion – qui, soit dit en passant, ne diffère pas tellement de la notre ! – pour ces merveilles électrifiées qui arpentaient les rues de nos cités jadis. Une sortie fût donc organisée à cet effet et comme l’année était déjà bien remplie, décision fut prise que ce serait la dernière sortie club, en fin d’année : le fameux regommage avant l’hibernation de nos déesses à quatre roues.

     C’est ainsi qu’après avoir découvert, il y a quelques temps déjà, deux magnifiques locomotives à vapeur, elles aussi bichonnées par une autre tribu de passionnés, nous avons fait connaissance avec, pourrait-on dire, deux de leurs petits cousins : les tramways. Nos deux hôtes étaient des modèles électriques, déjà bien plus récents et plus élaborés que les premiers tramways qui étaient tirés par des chevaux à la fin du 19ème siècle. De plus, et grâce à cette équipe de passionnés, ils étaient (et sont toujours) roulants. Une belle restauration, puis un entretien régulier et rigoureux, accompagnés d’une reconstruction de voie ferrée le long de la Deûle, ont permis ce retour à la vie.

     Bien entendu, le voyage ne peut guère dépasser quelques minutes, vu que la « ligne », restreinte, ne mesure que trois kilomètres en tout et pour tout. On doit donc se contenter d’un bref aller-retour au milieu des cyclistes et autres joggeurs locaux. Mais ne jetons surtout pas la pierre à nos machinistes en herbe : le travail accompli pour arriver à ce résultat est déjà énorme ! Et il nous permet de revivre un peu, aujourd’hui, ce qu’ont vécu nos aïeux, il y a quelques décennies.

     Nous avons commencé la journée par une balade au road book très pittoresque entre Halluin et Wambrechies, en passant par Linselles et Verlinghem où l’ARH a offert l’apéro . Un temps magnifique nous a accompagné tout au long de la journée. A midi, nous avons fait escale au restaurant « Tomate-Cerise » de Wambrechies. Un accueil très chaleureux et un repas qui a contenté tout le groupe. Faut dire qu’il était appétissant, copieux et délicieux… …Que demander de plus ? Et c’est l’après midi que nous avons rejoint l’antre des trams.

     Le voyage, bien que très court, ne fut pas d’un confort inoubliable. Ces vieilles guimbardes, bien que robustes et fiables, ne se déplacent qu’en tremblant et cahotant ça et là, le tout agrémenté d’un bruit incessant de frottements de ferraille et de bois. Mais c’est tant mieux car c’est exactement ce qu’on était venu chercher : du pittoresque, de l’aventure, du rétro, bref du dépaysement ! Et en cela, ce fut très réussi : d’abord, chacun de nous a pu embarquer dans les deux motrices, l’une après l’autre. Nous nous étions séparés en deux groupes, chacun à bord d’une machine et avons permuté au retour. Et nos hôtes avaient joué le jeu jusqu’au bout, arborant de magnifiques et véritables uniformes de machinistes.

     En marge de ce périple, nous avons eu droit également à un résumé historique des tramways mis à notre disposition, ainsi que de celui qui dormait tranquillement dans le hangar et ne sortait pas ce jour-là. Trois machines, donc, de la première moitié du 20ème siècle : un Mongy 420 (qui ne roulait pas), un Mongy 432 de 1926, et une motrice 74 venue de Neuchâtel, en suisse.

     Outre la visite virtuelle que je vous propose à chaque article de ce site, vous pouvez découvrir un peu plus encore l’univers de l’AMITRAM en vous rendant sur leur site Web : www.amitram.fr.

     Nous remercions très chaleureusement nos cinq compères machinistes de l’AMITRAM qui nous ont accueilli dans leur univers, tout le monde a apprécié leur disponibilité et leur humour. Une bien belle journée en somme qui s’est conclue pour chacun de nous avec quelques rides en plus aux coins des yeux, des gens qui sourient…      …Car il faut bien l’avouer : elle est franchement belle la vie…    …Avec l’ARH et l’AMITRAM, bien sûr !

 

Jean-Christophe GARCIA

 

Les premiers véhicules au rendez-vous…

 

Le retour, enfin, de la PL 17, qui s’était faite discrète depuis quelques temps…

 

Un nouveau venu s’est glissé dans la troupe…   …Bienvenu parmi nous, François.

 

Petit câlin du matin…

 

Les sorties ARH ?…        …Ca tourne rond !

 

 

Max en terre inconnue…

 

Il a l’air emballé, encore faudra t-il convaincre Jean-Phi d’échanger de véhicule…  …Et ça, c’est pas gagné !!!

 

Jolie brochette de fruits de la passion…

 

Premier arrêt, ferme du vinage et première question du road book : notre nouveau membre François B s’intègre parfaitement aux coutumes ARHiennes en jouant le jeu jusqu’au bout…

 

 

…Désolé, c’est vrai, elle est un peu trop récente, mais promis, un jour, elle deviendra, elle aussi, une ancienne !

 

 

 

…Deuxième arrêt : Verlinghem, fief de nos amis Monique et Jean D.

 

…Qu’Est-ce tu fais à ma roue, toi ?

 

 

La fière monture de notre nouveau membre…

 

 

 

Je peux vous dire qu’il était pas peu fier qu’on fasse escale dans sa ville…

 

 

…Bon, ça va : j’ai pas encore perdu mon pot !

 

 

Photo : Ania G

 

Changement de lieu pour l’apéro… On est toujours dans la belle cité de Verlinghem

 

On n’est pas bien, là ?

 

Si jeune et déjà fatigué !

 

…Avec modération, bien sûr !

 

…Petit panorama de notre pause apéro

 

 

 

 

 

Direction le resto…

 

 

…On avait le choix entre rôtisserie au Maroilles…

 

…Et Risotto au poulet

 

Et en dessert : tiramisu…

 

Bon appétit tout l’monde !

 

 

 

 

 

 

…Nos deux organisateurs du jour en plein travail. Merci à vous deux pour cette belle journée !

 

 

Les trois grâces…

 

…Et les trois gras ! (pour la petite histoire, c’est ainsi que je les ai nommé en prenant la photo, après qu’ils aient baptisés non sans humour gras, les trois dames photographiées juste avant…   …Les arroseurs arrosés, en somme !)

 

 

En voiture messieurs dames…

 

 

Et attention : tout le monde montre son ticket. Je ne veux aucun resquilleur !!!

 

 

 

Le Mongy 432…

 

Bienvenue à bord

 

 

…Ticket, s’il vous plait.

 

 

Le champ de vision du pilote…

 

…Et des passagers bienheureux !

 

 

 

 

…Notre machiniste chevronné et efficace…

 

Le 74, venu tout droit de Suisse…

 

Bienvenue à bord…

 

…Nous partagions le parcours avec les promeneurs locaux… Chapeau aux machinistes qui doivent mener leurs engins dans ces conditions pas toujours évidentes…

 

 

Retour au hangar…

 

Photo de famille

 

Nos trois mousquetaires de la ligne Pont Mabille (Marquette) – Ferme Saint Chrysole (Wambrechies).

 

Des voyageurs ravis !

 

Deuxième voyage pour fermer les barrières

 

 

Tiens, finalement, on a eu deux resquilleuses ? …Mais non, ce sont nos machinistes qui ont succombé aux charmes de ces demoiselles et les ont laissé monter…

 

 

Après le tram Mongy…   …La bière Mongy !

 

 

Tristes qu’il n’ai pu se joindre à nous, on a débarqué chez Laurent V avant de rentrer. Le pauvre était bloqué par un léger souci de santé…  Photo : Noémie V.

 

…Après une seconde de panique, nous voyant envahir la rue devant chez lui, Françoise, Noémie et lui, nous ont invité à prendre un verre… …Notre débarquement leur a manifestement fait grand plaisir !       Photo : Ania G.